SUR LES SRIAS SUR LA RESTAURATION Le Congrès dénonce les difficultés de gestion des SRIAS dans les régions fusionnées. Il revendique un retour, a minima, de l’effectif des personnels administratifs avant la fusion des régions : CASEP (Conseillère Action Sociale et Environnement Professionnel) ou correspondants administratifs et des moyens pour que les instances fonctionnent correctement. Les SRIAS doivent pouvoir pleinement jouer leur rôle de précurseur dans les actions proposées et assurer un suivi à la hauteur des besoins des agents. Il exige que le rôle de chaque membre des SRIAS soit bien défini et que les SRIAS soient pourvues de moyens humains (facilité de service pour les membres des SRIAS). Le Congrès demande la mise en place dans chaque SRIAS d’une vice-présidence afin de pallier l’éventuelle indisponibilité du Président de l’instance et la mise en place de tuilage de la présidence à chaque fois que nécessaire. Le Congrès demande que soit privilégiée la restauration collective administrative gérée par des associations de gestion. Le Congrès demande la reconnaissance du rôle d’expertise et de soutien tenu par le Comité Interministériel de l’Action Sociale (CIAS) auprès des associations de gestion et exige que des dispositifs d’aides financières et juridiques soient pérennisés. Le Congrès revendique l’obligation pour l’employeur de proposer aux agents des solutions de restauration accessibles et de qualité. A défaut, le Congrès exige l’établissement de partenariat avec des restaurateurs locaux situés à proximité des lieux de travail des agents privés d’accès à une solution de restauration collective. Le Congrès revendique que les agents en télétravail bénéficient de subventions conformément au décret 2016- 151, article 6. Le Congrès exige que les conventionnements ne puissent être bloqués en raison d’économies budgétaires. Le Congrès revendique un tarif préférentiel pour les pensionnés ayant accès à des RIA. Le Congrès réclame toujours que le taux de TVA applicable pour les RIA soit identique à celui appliqué pour les cantines (5,5 %). Le congrès exige qu’aucun restaurant administratif ou restaurant inter-administratif ne fasse l’objet de fermeture et que les ministères les soutiennent financièrement pour les maintenir à l’équilibre conformément à leur mission sociale, lorsque cela s’avère nécessaire. Défiler le texte Défiler le texte