Afin de développer de nouvelles prestations, le Congrès revendique que l’ASI puisse fonctionner avec un budget pérenne, prévisionnel et pluriannuel. Le Congrès se félicite de l’implication du CIAS et des SRIAS et invite les représentants FO à poursuivre ou à engager l’action en ce sens. Preuve a été faite de la pertinence des projets portés par nos représentants syndicaux dans l’intérêt des agents de la Fonction Publique. Le Congrès revendique que les barèmes des prestations sociales soient abondés à hauteur de la réalité des besoins et indexés sur l’évolution du coût de la vie. Le Congrès dénonce encore et toujours l’exclusion d’un grand nombre d’agents du droit aux prestations du fait de la règle du quotient familial et il exige que tous les agents soient éligibles aux prestations de l’action sociale. Le Congrès revendique l’égalité d’accès à l’action sociale pour tous. Le Congrès réclame que la communication des actions sociales interministérielles auprès de tous les agents actifs et pensionnés soit facilitée. Le Congrès exige la création d’une véritable politique d’action sociale pour tous les agents de la Nouvelle-Calédonie, de la Polynésie-Française et de Wallis-et- Futuna. Le Congrès exige, pour les agents des départements et régions d’Outre-mer, actifs, retraités et pensionnés, que la cherté de la vie soit prise en compte, afin de ne pas être une source d’exclusion des agents œuvrant sur ces territoires. Le Congrès défend la mise en place d’un fonds d’intervention d’urgence pour faire face, au plus vite et au mieux, aux répercussions dramatiques qu’engendrent les événements climatiques désastreux (feux gigantesques, inondations à répétition, glissements de terrain, cyclones et tempêtes…).