Le Congrès revendique la mise en extinction du régime additionnel de la Fonction publique (RAFP) et la transformation du fonds existant en points d’indice. Il refuse que les provisions du RAFP soient captées par un éventuel régime universel. La FGF-FO exige que les agents publics puissent bénéficier de leurs droits à la liquidation de leur pension. Dans l’attente de la mise en extinction du RAFP, le Congrès revendique que les jours versés sur le CET soumis au droit d’option annuel ne puissent pas être irréversiblement basculés sur le RAFP. Le Congrès affirme que le FSPOEIE doit rester un fonds de retraite adossé aux règles du Code des pensions civiles et militaires. Il est nécessaire de maintenir, voire d’augmenter le nombre des ouvriers d’État pour maintenir ce régime. Cela suppose d’effectuer un recrutement à la hauteur des besoins. Le Congrès affirme que l’IRCANTEC est et doit rester un régime complémentaire réglementaire public, adossé au Code des pensions civiles et militaires. Le congrès exige le maintien de la gestion paritaire de l’IRCANTEC, dans lequel le président et le vice-président sont élus par le conseil d’administration selon une règle d’alternance, et dont les présidents des commissions sont issus des organisations syndicales ou des employeurs.