Le Congrès demande donc, à nouveau, une définition la plus précise possible des différents modes d’organisation du travail, prenant en compte les évolutions récentes dans tous les domaines. Le Congrès s’oppose à tout changement d’organisation à marche forcée, sans consultation et accord préalable des agents et des représentants du personnel. Le Congrès refuse que les nouvelles modalités horaires puissent donner lieu à une augmentation de la charge de travail, qu’elles se substituent à certains aménagements de postes, notamment pour les personnels en situation de handicap et qu’ils réduisent les droits à congés.