Le Congrès soutient les organisations syndicales européennes et internationales, dans le respect de ses principes d’indépendance syndicale, toutes les initiatives engagées pour mettre fin aux poursuites abusives contre les syndicalistes, aux procédures disciplinaires ou judiciaires visant des militants pour leur participation à des mobilisations sociales, à leur harcèlement moral ou professionnel voir même à leur incarcération arbitraire exercés par certains états européens ou internationaux. Le Congrès rappelle que l’engagement syndical ne constitue pas un délit, mais une mission essentielle pour garantir la justice sociale et les droits des travailleurs. Le Congrès dénonce les attaques réitérées contre la liberté syndicale (convention n°87 de l’OIT) et le droit à la négociation collective (convention n°98 de l’OIT).