La violence ne fait pas partie du travail, mais elle reste une réalité pour trop de travailleurs, en particulier les femmes. Il appartient aux employeurs de garantir un environnement sûr. Pour Jan Willem Goudriaan , secrétaire général de la FSESP, UNE RESPONSABILITÉ PARTAGÉE VIOLENCE ET HARCÈLEMENT AU TRAVAIL Signature d’un accord pour des Lignes directrices européennes pour prévenir la violence et le harcèlement de tiers au travail. Défiler le texte Il a également plaidé pour que les prochaines négociations intersectorielles fassent évoluer l’accord autonome européen de 2007 vers un instrument juridiquement contraignant . Les partenaires sociaux signataires s’engagent à promouvoir et diffuser ces lignes directrices dans leurs secteurs respectifs et à évaluer leur mise en œuvre d’ici six ans . Un site web commun mettra à disposition des exemples de bonnes pratiques et de conventions collectives. lire la suite lire la suite lire la suite lire la suite lire la suite lire la suite Découvrir le site Découvrir le site UN ENJEU DE SANTÉ PUBLIQUE ET DE CONDITIONS DE TRAVAIL Ces lignes directrices mises à jour affirment avec force que « la violence ne fait pas partie du travail ». UNE RÉVISION AMBITIEUSE FONDÉE SUR LE DIALOGUE SOCIAL Signées le 6 mai 2025 lors du Forum de liaison présidé par la Commission européenne, ces lignes directrices actualisent celles de 2010 et s’appuient sur la Convention n°190 de l’OIT sur la violence et le harcèlement.